EXPOSITION EN COURS

Le tableau : une histoire en morceaux. Michel DUPORT

du
15
Nov
2025
au
28
Feb
2026
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Notre prochaine exposition de Michel Duport ouvrira le samedi 15 novembre 2025. En attendant cette date notre espace show room et notre atelier reste ouvert sur rendez-vous uniquement. Vous pouvez prendre rendez-vous en nous écrivant sur l'adresse suivante: infos@ericlinardeditions.com ou par téléphone au 04 75 04 44 68

Le tableau n’est pas seulement une toile tendue sur un châssis c’est aussi un espace peint accroché au mur. Depuis les années 1980 M.D.multiplie les angles de vue sur la couleur peinte. Le « conventionnel »format rectangulaire est « mis en morceaux » soit par assemblages de châssis soit pour devenir sculpture peinte en plâtre ou bronze. C’est la manière dont la peinture est déposée sur ces formes qui est le sujet donc l’expression du peintre. Ses références dans l’Histoire de l’art et de son histoire particulière sont exposées ici sur une cinquantaine d’années.

Il ne s’agit pas de faire semblant, de faire de la peinture« sans peinture », de déplacer sa matérialité vers des médiums qu’on pourrait qualifier d’analogiques tant les images et leurs procédures picturales sont présentes dans notre mémoire et notre culture mais au contraire de partir de ce qui constitue le grain même de la couleur, sa texture, pour proposer des formes sensibles de  peinture.

"In the Shade" Jérémy LIRON

du
07
Aug
2021
au
16
Oct
2021
On ne sait jamais des images qui semblent se dresser dans la vue, des moments qui nous retiennent, s’ils nous sont suggérés par une configuration du réel ou par ce que l’on y projette.

A vrai dire, un tableau sous cet aspect est le mariage d’une prise de note ou d’une saisie du regard et d’une rêverie ou d’un fantasme. S’y rencontrent des ressemblances, des souvenirs autant que des partis-pris, des arrangements, des jeux entre le monde des choses et le monde des signes, entre la profondeur et la surface, l’illusion et le concret. S’il s’agit d’un muret, de la lumière qui tombe dessus, de l’ombre qu’il projette, bientôt tout se joue dans le contact de deux teintes, dans un dialogue de gestes, la trame abstraite d’une composition.
Tout ne s’y laisse pas dire ou décrire.
On pourrait dire simplement qu’il s’agit de paysages, que l’on y croise la chorégraphie d’arbres et la géométrie d’architectures, mais, empruntant les mots de Bataille, j’oserais écrire que « l’essentiel me parait plus tortueux, et plus vague, l’essentiel a peut-être le sens d’une inextricable totalité. »

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