EXPOSITION EN COURS

Le tableau : une histoire en morceaux. Michel DUPORT

du
15
Nov
2025
au
28
Feb
2026
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Notre prochaine exposition de Michel Duport ouvrira le samedi 15 novembre 2025. En attendant cette date notre espace show room et notre atelier reste ouvert sur rendez-vous uniquement. Vous pouvez prendre rendez-vous en nous écrivant sur l'adresse suivante: infos@ericlinardeditions.com ou par téléphone au 04 75 04 44 68

Le tableau n’est pas seulement une toile tendue sur un châssis c’est aussi un espace peint accroché au mur. Depuis les années 1980 M.D.multiplie les angles de vue sur la couleur peinte. Le « conventionnel »format rectangulaire est « mis en morceaux » soit par assemblages de châssis soit pour devenir sculpture peinte en plâtre ou bronze. C’est la manière dont la peinture est déposée sur ces formes qui est le sujet donc l’expression du peintre. Ses références dans l’Histoire de l’art et de son histoire particulière sont exposées ici sur une cinquantaine d’années.

Il ne s’agit pas de faire semblant, de faire de la peinture« sans peinture », de déplacer sa matérialité vers des médiums qu’on pourrait qualifier d’analogiques tant les images et leurs procédures picturales sont présentes dans notre mémoire et notre culture mais au contraire de partir de ce qui constitue le grain même de la couleur, sa texture, pour proposer des formes sensibles de  peinture.

Moschini 2020

du
01
Aug
2020
au
31
Oct
2020
Guillaume Moschini travaille autour d’un geste, d’une teinte, dans une matière toujours très liquide, mêlant à l’envie encres, acrylique et alcool à brûler.Il utilise de la toile de coton ou de lin brute. Le support non apprêté permet à la peinture de faire corps avec la toile, à la couleur d’irriguer les fibres, d’infuser la matière.

Son geste est porteur d’une émotion, d’une tension, qui ne naissent qu’à travers des jeux d’équilibres et de déséquilibres entre formes et couleurs, excluant tout systématisme. S’il a toujours été question d’esthétique dans ce travail, ce n’est guère la beauté des couleurs qui est visée, mais leur fragile balancement, dépendant des contextes d’exposition et du regardeur qui en capte et recrée les valeurs à chaque instant.

Parmi les artistes qui nourrissent sa recherche sur la couleur et l’espace pictural, Guillaume Moschini évoque le peintre italien Giorgio Griffa, ainsi que les américains Morris Louis et Kenneth Noland . Il souligne aussi l’importance que revêt pour lui l’artiste Helen Frankenthaler en faisant référence à l’une de ses toiles exposée au Moma, « Mauve District », dont les teintes et la composition ont fréquemment servi de socle à ses recherches.

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